Chantal A. Dupré s’est intéressée très tôt aux difficultés d’apprentissage. Elle a toujours aimé aider et accompagner ses proches dans leur scolarité en variant les méthodes et stratégies pour s’adapter à leurs besoins.
Parallèlement à ses études de chimie, elle était répétitrice scolaire, enseignante-remplaçante et enseignante de musique. Après quelques années dans l’industrie et une spécialisation en chimie analytique, elle s’est réorientée dans l’enseignement des mathématiques et des sciences expérimentales.
Tout au long de ses 25 années d’enseignement aux jeunes adultes et adolescents, son intérêt pour les processus d’apprentissage n’a cessé de grandir. De 2007 à 2023, elle est référente « DYS » de son collège pour les élèves à besoins particuliers, principalement les élèves diagnostiqués dyslexiques, dysorthographiques, dyscalculiques et TDA(H), dans le cadre de la Directive « Soutien et aménagements ».
Elle a enseigné à des élèves en situation de handicap telle que la surdité ou la mal voyance et elle a également intégré pendant les trois ans du cursus secondaire une adolescente souffrant du syndrome de Down.
« Le don de dyslexie » et « Le don d’apprendre » de Ron D. Davis l’ont encouragée à suivre la formation de « Facilitante Davis ». Grâce à cette méthode rigoureuse et ludique qui exploite leur capacité d’imagination et développe leurs compétences, les apprenants progressent rapidement dans leurs apprentissages et accèdent naturellement à la réussite scolaire et/ou professionnelle.
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L.S. (14 ans) a suivi le programme de correction de la dyscalculie en octobre 2023. Depuis, tout a changé à la maison : « Mon fils n’allait pas bien depuis plusieurs années. Vous avez sauvé mon fils du naufrage, il allait droit dans le mur. Il a réussi son année scolaire, la meilleure depuis longtemps. Il règle son compteur d’énergie, il est beaucoup plus calme, il ne cherche plus les conflits, il n’est plus agressif : quand on rentre à la maison, l’atmosphère est festive, joyeuse ». La maman continue de superviser les exercices depuis (lecture et calcul mental en particulier) et toute la famille joue aux balles Koosh.
Quand j’ai questionné la maman de M.C. (14 ans) qui a suivi un programme de correction de la dyslexie, elle m’a confié que sa fille avait changé de perception et que le calme était revenu : « plus de portes qui claquent ! ». M.C. a pris en main son travail scolaire, elle est devenue autonome et a pris confiance en elle.
Z.C. (11 ans) ne retrouvait pas les prénoms des amis de sa maman, elle s’est orientée et tout est revenu. Elle s’est écriée : « C’est comme si j’avais des super pouvoirs ! ».